RECHERCHE SUR LE QUESTIONNEMENT

 DES ELEVES/ENFANTS

Il s’agit du deuxième volet de la recherche lancée au colloque de Rennes (mai 2002). Le premier portait sur le rôle du maître dans des discussions à visée philosophique, dont on trouvera trace sur la liste pratiques-philosophiques.net au bouton « recherches » (une quarantaine de textes, suivi d’une dizaine d’analyses de ce corpus). Cette recherche se poursuit.

Le second, lancé lors des colloques de mars/mai/juin 2003 vise à :

-         recueillir un corpus de questions posées par des élèves de primaire et de collège (ou d’enfants ou d’adolescents dans leur famille), dans leur formulation littérale, et non « arrangée » par l’adulte, en précisant l’âge ou le niveau de classe ;

-         tenter de les « typologiser » ;

-         recueillir des réactions spontanées à ces réponses,

-         ainsi que des positions sur celles qui semblent souhaitables.

Ci-dessous un questionnaire pour recueillir ce corpus. Une seule réponse, la première, et votre contribution est déjà essentielle ! Plutôt peu que rien !

Des débats seront organisés à partir des corpus recueillis, et il en sera rendu compte dans un colloque ultérieur.

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Retour des réponses :

- par mail à Michel Tozzi,  avec copie à la liste recherches-philosophiques@yahoogroupes.fr (inscription auprès de Jean-François Chazerans),

 - à défaut par courrier à M. Tozzi 3 rue de Navarre 11100 Narbonne.

1)     Faire une liste de questions qui vous ont été posées en tant qu’enseignants ou parents par les élèves (enfants ou adolescents), avec leur formulation littérale, en précisant l’âge ou le niveau.

2)     De quelle nature vous semble chacune de ces questions ? Proposez un classement, une typologie de ces questions. Explicitez les catégories que vous proposez, en donnant des exemples (Type de catégorie/exemple de question/explicitation du critère de classement).

3)     Quelles sont parmi ces questions celles qui vous semblent d’emblée « philosophiques » (exemples)? Pourquoi ?

4)     Peut-on entendre « philosophiquement » certaines de ces questions qui ne semblent pas de prime abord philosophiques (exemples)? Que signifie pour vous « entendre philosophiquement » ?

5)     Face à telle question entendue , comment avez-vous spontanément réagi en fait  (prendre 2 à 3 exemples)? Comment analysez-vous votre attitude ?

6)     Plus idéalement, pensez-vous qu’il y a une façon souhaitable de réagir, en tant que maître ou parent, à une question « repérée comme philosophique » ? Expliquez.

Date de création : 05 septembre 2003
Date de révision :
redaction@pratiques-philosophiques.net